Après le décès du premier ministre Hamed Bakayoko, le grand déballage continu .
Chaque jour, il y a une autre nouvelle surprenante qui qu’on apprend. En tout cas Quelque chose de nouveau qui passe.
Dans les multitudes de témoignages qui s’égrènent chaque jour en faveur de la famille biologique , politique du golden boy, quelque chose vous surprend toujours en fonction de ce chacun a retenu dans ses interactions par le passé avec HAMBAk.
C’est le cas de l’ancien préfet d’Abidjan , Vincent Toh Bi dans son poste d’hommage à HAMBAk hier a plutôt fait des confidences au lieu d’un hommage tout simple à cause de la consistance du contenu de ses propos.
Le préfet a dit des choses étonnantes qui ont sonné comme des révélations de taille.
Très souvent l’on dit que c’est à la mort de quelqu’un que les étrangers apprennent si de son vivant il a été bon ou pas . En demontre tous les témoignages qui ont été dit ces temps ci en faveur du premier ministre ivoirien.
Vincent Toh Bi a critiqué positivement la vie de HAMBAk à la lettre comme si les deux hommes ont passé toute leur vie ensemble.
En fait Toh Bi explique qu’il a été en contact avec un monsieur très généreux, gentil , ami de tout le monde.
Il avait le sens du compromis . Tout le monde parle des qualités morales d’Hamed Bakayoko, au-delà de ses défauts. Mais personne ne s’attarde sur la relation entre Hamed Bakayoko et le travail.
Face au travail, quelle était l’attitude de HAMBAk ?
L’ancien préfet d’Abidjan a fait à ce niveau un grand déballage sur la Vie de l’homme pour la fois qu’il venait travailler avec lui .
<< Voici ton bureau, assieds-toi . Tu commences le travail aujourd’hui ». C’est par ces mots que notre collaboration a débuté .
Le préfet d’Abidjan expliquait encore que c’est HAMBAk qui a mis fin à sa carrière internationale en 2014 pour venir travailler avec lui . Il faut signifier aussi que le premier ministre Bakayoko était un homme qui stressait , qui ne tardait non plus à se manifester quand le travail semblait traîner.
Et moi personnellement , je l’appelait volcan à cause de la fougue qu’il debauchait face au travail.
Le préfet va plus loin pour dire que dans la réalité, on dirait qu’il y avait deux êtres dans le premier ministre Hamed Bakayoko. Il y avait l’effervescent, le bouillant, le truculent Hamed Bakayoko que tout le monde connaît.
Et il y avait l’autre Hamed Bakayoko que beaucoup de personnes y compris des proches ne connaissaient pas du tout .
C’etait un Hamed minutieux et méticuleux dans le travail. Le premier ministre des fois restait au bureau jusqu’à 03h du matin,. Vincent Toh Bi avoue que HAMBAk était un stresseur , un adepte du résultat immédiat, ultra et extra pragmatique, coléreux et volcanique parfois.
Nos relations affectives ont grandi au pied du travail parce que HAMBAk aimait le travail.
Vincent Toh Bi promet lui rendre Un vibrant hommage par des textes tous les jours à Hamed Bakayoko jusqu’à ce qu’il soit porté en terre le 19 Mars prochain.
Pour conclure Vincent Toh Bi a également signifié qu’il s’atelera à raconter la vie de HAMBAk dans le travail avec des anecdotes vraies , car pour le premier ministre, un Directeur de Cabinet comme je l’étais, n’est pas un collaborateur mais un frère avec qui l’on travaille.
