L’institution panafricaine est sous pression pour maintenir sa note AAA, précieux sésame pour emprunter sur les marchés et conserver son niveau d’activité.
C’est une course contre la « dégradation » dans laquelle est engagée la Banque africaine de développement (BAD). Selon nos informations, l’institution présidée par le Nigérian Akinwumi Adesina étudie très sérieusement la possibilité de procéder à une augmentation de capital spéciale, une mesure exceptionnelle destinée à protéger sa notation « AAA ».
Approuvée fin janvier par le conseil d’administration de la banque, la procédure doit être examinée par le conseil des gouverneurs lors d’une réunion extraordinaire prévue le 5 mars avant, le cas échéant, d’être mise en œuvre à partir de mi-mars.
Leave feedback about this