10 décembre 2024
Paris - France
AFRIQUE

CPCS se prononce sur la Présidentielle du 25 Février 2024 en République du Sénégal

QUATUOR DE MISSION PANAFRICAINE ET INTERNATIONALE D’OBSERVATION DU SENEGAL, SOUS L’EGIDE ET L’INITIATIVE DU CPCS (CONSORTIUM PANAFRICAIN DES COMPETENCES EN SYNERGIE) RAPPORT D’OBSERVATION ET DE CONSTAT DES ACTES POLITIQUES POSÉS, PUIS DE SUIVI DU CLIMAT PRÉ ÉLECTORAL DE LA PRÉSIDENTIELLE DU 25 FÉVRIER 2024 PROCHAIN, EN RÉPUBLIQUE DU SÉNÉGAL

RAPPORT D’OBSERVATION ET DE CONSTAT DES ACTES POLITIQUES POSÉS, PUIS DE SUIVI DU CLIMAT PRÉ ÉLECTORAL DE LA PRÉSIDENTIELLE DU 25 FÉVRIER 2024 PROCHAIN, EN RÉPUBLIQUE DU SÉNÉGAL

Le Consortium Panafricain des Compétences en Synergie en abrégé CPCS, ONG LEADER de dynamique Observatoire internationale et panafricaine,

 Fort du suivi d’observation électorale des scrutins précédents et de leurs processus au Sénégal, a cru bon, dans la perspective du scrutin présidentiel du 25 février 2024 en République du Sénégal, de porter une attention particulière, avec l’appui de faîtières collaboratrices,  au processus électoral de la présidentielle du 25 février 2024 en République du Sénégal, notamment en amont, avec le suivi des actes pré électoraux posés, et de la scrutation du climat pré-électoral subséquent, prévalant en République du Sénégal.

A mi-parcours de suivi, un Rapport/ Message a été dressé tant à l’attention de l’opinion nationale sénégalaise que de celle internationale, par ce quatuor ponctuel de Mission Panafricaine et internationale d’Observation dont ci-dessous et en in extenso,  le texte y relatif, avec ses constats, points saillants, recommandations et Exhortations divers, sur les faits marquants de cette séquentielle de suivi de processus, et des apports, suggestions et recommandations y relatifs, en droite lignée d’apports divers pour un enrichissement optimum des conclusions du Dialogue politique National qui a eu lieu, courant juin 2023 en République du Sénégal, et qui est à grandement saluer, tout comme toute ouverture de lucarne républicaine permise, de continuité de discussions et d’échanges d’enrichissement qui reste ouverte à l’effet, puissent éclore ou exister, pour que  les idées fortes apportées ou à apporter par quiconque,  soient de cité, pour une élection présidentielle 2024  libre, démocratique, pacifique , honnête de conception et de mise en œuvre , et qui serait d’une acceptation de tous in fine,  en République du Sénégal.

AINSI, CE RAPPORT DE SUIVI PRE ELECTORAL, DU QUATUOR  PANAFRICAIN DE MISSION INTERNATIONALE D’OBSERVATION,  DES ACTES POLITIQUES POSÉS ET DU CLIMAT PRÉ ÉLECTORAL DE LA PRÉSIDENTIELLE DU 25 FĖVRIER 2024 PROCHAIN EN RÉPUBLIQUE DU SÉNÉGAL, CE RAPPORT DONC DANS TOUTES SES ESSENCES, EST TENU COMME TEL POUR TOUS SANS EXCLUSIVE, ET NOTAMMENT POUR LE SÉNÉGAL ET POUR L’AFRIQUE.

PRÉSENTATION DE LA PRESENTE  LUCARNE D’OBSERVATION  PRE ELECTORALE DE PARTICIPATION

En signalement communicatif de mission internationale et panafricaine, et pour rester toujours en phase avec leur éthique déontologique,

Laquelle éthique déontologique se veut d’être des témoins oculaires, de bout en bout, des processus électoraux en Afrique, et non d’être tout simplement des observateurs de scrutins le moment venu, comme bon nombre de missions ne restent qu’à ce stade bien embryonnaire de mission d’observation électorale, ce qui est fort inquiétant pour toute objectivité de suivi, d’appréciation, et de prononciation sur  la régulière, sincère, bonne et honnête de tenue ou non d’une élection,

Les ONG internationales et panafricaines suivantes et ci-dessous nommées à savoir :

– Le Consortium Panafricain des Compétences en Synergie en abrégé CPCS, ONG LEADER de la présente, ponctuelle et  dorénavant de  synergie observatoire de mission de travail en quatuor sur le terrain au Sénégal et leurs relais divers et journalistiques,

En collaboration donc de donne de participation avec les faîtières suivantes à savoir :

– La MOESCA (Mission d’Observation Électorale de la Société Civile Africaine),

– La Panafricaine de l’Académie Diplomatique Africaine à l’International,

– Le Compendium Panafricain FEMMES DÉMOCRATIE TRANSPARENCE ET PAIX en Afrique et son alliée de Réseau International de Femmes de la DIASPORA et Autres dénommé RIF – FEMMES- Paix, Démocratie et Développement durable en Afrique,

Fortes de leurs expériences multiples d’observation en Afrique et notamment celles antérieures de suivi de bien de processus électoraux qui se sont déroulés au Sénégal,

Ces ONG sus citées, se sont mises librement à l’initiative et sous l’égide du CPCS, en cumul de ressources pour plus d’efficacité, en un Quatuor de missions d’observation de tous les actes pré électoraux, puis du climat et de l’environnement pré-électoral qui reste toutefois tendu, de la présidentielle très importante du 25 février 2024 prochain en République du Sénégal.

OBJECTIFS VISÉS – DÉONTOLOGIE – POINTS DE REPAIRES RÉFÉRENTIELS

L’objectif poursuivi du Quatuor de Mission, étant d’être des témoins oculaires de tout le processus électoral de cette présidentielle très importante pour le pays,  et d’en savoir y témoigner objectivement partout où besoin sera, grâce à un  suivi rigoureux en amont, puis pendant et en aval de toutes les étapes dudit processus, afin d’appuyer par des séquentielles de communication d’observation, relevant surtout de la donne de connotation d’apports divers à faire, pour aider le pays Sénégal à aller toujours de l’avant et à le rester, en tant que belle boussole démocratique et d’alternance au pouvoir d’Etat, rien que par les urnes, dans le respect des règles démocratiques et surtout de l’État de droit,

Ainsi, sur la base d’une équipe de 2 personnes en restreint de module présentiel de longue durée qui se relaie au Sénégal, en étroite alchimie de mise en place et d’application d’un chronogramme en synergie qui se déroule sans ambages  ni aucune entrave  vis à vis de notre singulière de mission qui en agira comme telle lors de toutes les étapes dudit processus électoral présidentiel en cours en République du Sénégal,

Et au regard scrutateur tout dernier, puis au décryptage du discours à la Nation du Chef de l’État sénégalais, Son Excellence Monsieur Macky Sall, Président de la République du Sénégal,  en ce lundi 03 Juillet 2023, discours à contenu historique que nous avons suivi et  qui en est porteur, à l’entendement de notre Mission et dynamique en QUATUOR, d’être un tournant marquant  et une première de l’histoire politique nationale du Sénégal, notamment avec un Président qui va organiser les élections de son pays, notamment celle à processus électoral en cours, sans y prendre part lui-même en tant que candidat, et au finish passer pacifiquement le témoin, par une nouvelle alternance démocratique d’actions, avec la  consécration de son successeur, issue de la voie  libre et démocratique des urnes,

Mais que s’est-il passé au Sénégal, avant ce discours, libre dans sa teneur et reposant sur le libre choix de pouvoir librement et à son aise communiquer ?

Qu’avons-nous observé en amont de cette communication présidentielle, sur un sujet ayant polarisé et empoisonné la vie politique nationale sénégalaise, avec pour point culminant et hélas déplorable, des pertes en vies humaines ?

Loin pour notre Mission d’en porter un doigt accusateur ou non sur de ⁹tels faits antérieurs ayant causé ces pertes en vies humaines, et qui n’ont plus droit d’avoir de cité au Sénégal,

Et notre Quatuor de mission, se réjouissant et saluant le principe cardinal qu’une enquête ait été diligentée à ce sujet au Sénégal souverain, par les Autorités en place pour en situer les responsabilités,

D’où  l’importance de suivi de toutes les phases de ce processus électoral présidentiel du 25 février 2024 prochain en République du Sénégal,  que notre Quatuor de mission a voulu en être dans l’action, témoin oculaire de suivi de processus électoral et non simple témoin observateur  de scrutin le moment venu lors de cette autre phase de tenue, comme ont l’habitude de le faire bon nombre de missions qui ne viennent et ne regardent que le côté face de l’iceberg et s’y prononcer, biaisant le caractère objectif d’observation électorale de toute élection,  et ceci en déphasage de tout, puisque la phase de préparation en amont du scrutin, est un élément capital d’appréciation au niveau de la fiabilité  des dispositions électorales qui doivent être en vigueur pour une élection libre, démocratique, inclusive,  honnête et sincère.

Ainsi, pour notre part, et dérogeant à cette forme de participation, pour en rester comme de coutume l’époux de la première donne, à savoir être des observateurs de processus électoral qui, par des séquentielles de communication de missions avec l’apport effectif en présentiel restreint de membres en mission avancée,  renforcé avec la collaboration d’avec  celle de structures nationales alliées, notamment en termes d’échanges et de recoupe d’informations, tout autant que celle de monitoring de notre pôle journalistique et Médias de communication avec certains médias partenaires,  par le truchement de Continent Media et alliés internationaux, il nous est apparu de relever les points saillants suivants très importants de connotation de donnes, à savoir .CONSTATS PRIMAIRES

En Constats  de base premier d’observation, il importe de noter la tenue effective au Sénégal, de la Révision des listes électorales pour cette présidentielle 2024, laquelle Révision des Listes s’est déroulée avec un professionnalisme dans son ensemble des organes en charge des élections.

Ainsi à ce sujet, notre Quatuor de mission internationale et panafricaine d’observation, tout en saluant dans son ensemble l’appréciable tenue en général de la phase de Révision exceptionnelle des listes électorales qui s’est déroulée pendant 30 jours soit du jeudi 06 Avril au 06 Mai 2023 en République du Sénégal, il importe d’être regardant sur le mode d’acquisition des cartes nationales d’identité, en termes de fluidité d’obtention.

Et tout en prenant note, en  constat de base en second, de l’importante et libre communication de message adressé en date du lundi 03 juillet 2023 à la Nation sénégalaise par le Chef de l’État, Son Excellence Monsieur Macky Sall,  qui s’en est exprimé dans son droit que l’on se devrait tout autant de lui concevoir,  que ce soit celui sur lequel de s’ exprimer ou de ne pas le faire, celui de s’en taire et de s’en exprimer en temps qui lui serait  le mieux indiqué, tout ceci étant un droit fondamental aussi à lui en savoir ou en concevoir le droit,  le droit au mutisme, antérieurement adopté par lui, étant tout autant un droit de liberté d’expression à respecter ou qu’il fallait respecter, pour qui emprunte ce chemin, tout autant que celui dont  tout un chacun peut vouloir emprunter la voie de boycott  pacifique sur telle ou telle donne nationale  ou celui de ne point participer à un rendez-vous d’échanges national, dans un cadre de lecture pouvant en dégager des consensus forts utiles pour le pays.

Egalement et en tous autres constats d’actes majeurs posés en amont de tout cela, plutôt que bon nombre d’acteurs de s’occuper de comment aborder les sujets cruciaux de préparation technique des élections, pour en dégager des consensus sur le fichier électoral, ainsi que le bréviaire principal et épine dorsale qu’est le Code électoral, que de diatribes observées de la part de certains acteurs politiques sénégalais notamment :

– le constat crucial de focalisation depuis plus de 2 ans, d’une sorte de symphonie de communication d’acteurs, axée sur une question résiduelle de 3ème mandat, quitte à polariser la vie politique publique, et chercher à en tirer profit pour soi et son égo personnel ;

– le constat également de traitement d’autres affaires judiciaires nationales ou privées, relevant du droit commun en cours, toujours de traitement judiciaire au niveau national,  et des intentions prêtées à tort ou à raison de ci et de là, des uns et des autres sans exclusive,  pouvant relever de connotation politique ou non selon les divers avis entendus de ci et de là, par notre Quatuor de mission d’observation sur le terrain;

– Le constat de foisonnement à l’effet, d’auto proclamations de candidatures à la présidentielle qui a fait son chemin au Sénégal, en lieu et place de notion de candidat à la candidature de leur Parti ou Coalition de Partis, pour en être porté et investi rien que par ce dernier de Parti ou de coalition de Partis, lors d’un congrès ordinaire ou d’une assemblée extraordinaire de Parti ou de Coalition de Partis auquel l’on appartiendrait, cette donne qui laisse ainsi la latitude â toute personne de Parti de se porter aussi candidat pour concourir également en tant que challenger à la phase de l’onction démocratique de son Parti ou de primaires ou de consensus officiel statutaire éventuellement, ces auto proclamations, édulcorant à l’entendement de notre quatuor de mission, les règles de compétition interne démocratique, qui ainsi non respectées aussi, frisent par ce non-respect de ligne choisie des autoproclamés, à tout simplement de la pensée unique et de la dictature de donne absolue dans leur Parti.

– Le constat de ceux des autoproclamés de la présidentielle, d’avoir voulu entraîner dans leur sillage d’auto proclamation ou d’avoir voulu forcer la main à autrui,  de se prononcer sur sa candidature, pour mieux le combattre déjà et en tirer profit personnel, en se dressant de ci de là en véritables adversaires, en déphasage du respect de la liberté d’expression de l’autre qu’on doit tout aussi lui concevoir,  le droit de se murer dans le confort du mutisme ou de l’esquive,  le mutisme ou le concept de respecter la volonté de s’exprimer ou de ne pas s’exprimer sur  sa probable candidature ou pas, le droit au mutisme étant tout aussi un droit et une liberté de se prononcer ou de ne pas le faire, en terme de libre liberté de choix d’expression à  juste en concevoir le respect dû à l’autre qui en prend ou en emprunte cette voie.

Le Sénégal, au vu de ces constats non exhaustifs, avait-il besoin de toutes ces polémiques ou actes posés, au point d’en faire comptable le pays du climat mortifère qui s’en est suivi, et à qui la faute, puis à qui donc imputer les effets collatéraux ?

Notre Dynamique en Quatuor International et panafricain de Mission, tout en déplorant la désescalade mortifère qui a eu à être de cité au Sénégal, et que notre Mission internationale et panafricaine condamne d’abord d’où qu’elle vienne ou provienne pour que cela cesse et ne soit plus de cité en République du Sénégal,

Cette désescalade faisant suite à des séquentielles d’actes posés de ci et de là, qui n’honorent point leurs Auteurs, notre Mission qui déplore ces pertes en vies humaines, en porte en antienne de communication, et en EXHORTATIONS :

Tout ceci à l’endroit de chaque sénégalaise et de chaque sénégalais sans exclusive que, vivement et dorénavant, chaque sénégalaise et chaque sénégalais, contribuer pacifiquement pour son pays, quelle que soit sa posture, à être et à rester :

– Un DJAMBAR de la tolérance et du respect de l’Autre ;

– Un Djambar du Don de soi pour son pays, se fondant sur la principale Valeur de la transcendance toujours de soi sur son propre égo ;

– Un Djambar de la paix et de la non-violence pour son pays et pour l’Afrique, et tout ceci, dans le cadre  de son libre choix  d’expression qui se doit de  toujours rester pacifiste et sans violence;

 – Un Djambar  du respect notamment des Institutions de la République et  des droits de l’Autre, y compris celui du mutisme, qui en est une liberté d’expression à en respecter la tenue pour qui emprunte cette voie, tout comme celui de s’exprimer par toutes voies notamment pacifistes et pacifiques, en quelle que séquentielle de communication que ce soit de son choix ou de son propre vouloir, en conformité surtout et avec toujours, le respect des lois républicaines, en vigueur en République du Sénégal;

– Enfin être et toujours adopter une attitude de responsabilité de DJAMBAR,  dénuée  de toute commissure d’actes d’invectives, d’actes de défis lancés ou de propos fâcheux, d’actes incendiaires pour se faire bonne presse et /ou se faire voir, d’actes ou de propos tendancieux ou à autre caractère anti démocratique et de violence, toute cette donne d’attitude d’appel â responsabilité à faire sienne pour son pays, sur la voie du renforcement et de la consolidation démocratique souhaité de toutes et de tous, de sénégalaises et de sénégalais, dans le strict respect de ces valeurs que notre Quatuor de Mission souhaite, pour le Sénégal, sur la base consensuelle possible et de concertation ou de dialogue utile à ne point toujours rejeter du revers de la main (même si cela relève de son droit sacré  d’expression), et ceci quelles que soient les circonstances;

RECOMMANDATIONS PREMIÈRES À L’EFFET :

Et de recommandation première et importante que notre Quatuor de mission panafricaine et internationale émet, et qui a trait au non-respect opéré de la liberté d’expression vis à vis de l’autre,

Plutôt que de vouloir s’acharner à contraindre quiconque à s’exprimer dans le sens que l’on souhaite et qui paraîtrait selon soi être le meilleur pour le pays, quitte à en inciter ou à  en   instrumentaliser  qui que ce soit de voir ou de regarder dans sa seule direction dirigiste,

Ce Sénégal que nous avons eu à suivre en moult circonstances antérieures de processus électoraux et apprécié pour ses Valeurs intrinsèques de responsabilité, de démocratie par la conquête du pouvoir, rien que par la voie des urnes,

Ce Sénégal de l’alternance pacifique,

Ce Sénégal avait-il besoin de diatribes politiciens, amenant à des dérives avec une seule obsession de disputes à tort ou à raison de fondée de donne ou non,  qui a constitué la question du 3ème mandat en République du Sénégal?

A qui donc la faute des dérives conséquentes, avec effet collatéral de morts d’hommes, suite à cette séquentielle de sujet de 3ème mandat polarisant et infectant, ayant rendu incommode la vie publique sénégalaise ?

A chaque sénégalaise et à chaque sénégalais sans exclusive, d’y répondre en toute objectivité, par la transcendance de son égo lors d’une introspection personnelle d’une part certes, mais aussi et surtout à n’en point laisser porter en soi, le germe de croire que sa soi-disant propre vérité qu’on croit à tort ou à raison, puisse être celle de primer, ou se devoir de primer sur celle de l’autre et vice versa.

AINSI, EN APPROCHES DE PARTICIPATIONS OBJECTIVES POUR LE SÉNÉGAL, 

Que faire donc, par chaque sénégalaise et par chaque sénégalais pour son pays le Sénégal, et pour l’Afrique, au regard de bien de fléaux qui sont de cité en cette sous-région ouest Africaine délétère au niveau démocratique pour bien de pays?

En  cela, notre Quatuor de Mission panafricaine et internationale d’observation, vu en amont l’initiative et la participation libre, ouverte et inclusive de cette belle idée de Dialogue politique national qui a eu lieu et dont chacun, avec sa libre expression de pensée, a cru bon pour lui d’y participer ou de ne pas participer ou de le boycotter, ce qui relève tout aussi d’une donne démocratique d’expression pourvu que ni l’un ni l’autre ne veuille encore chercher à empiéter sur le piédestal pacifique de chemin à prendre pour le pays, seul celui-ci le Sénégal et son intérêt national ne devant que primer sur tout,

Notre quatuor de mission, se félicitant de ce que certaines de notions en termes de recommandations de missions antérieures de certaines de nos faîtières ponctuelles de membres aient été prises en compte par ceux des participants au dialogue national notamment :

-Un regard sur la loi sur le parrainage qui a pu être revisitée en ses facteurs bloquants et/ou contraignants dont nous en avions parlé de ses aspects bénéfiques, tout comme de ceux néfastes lors de notre Rapport final de la présidentielle de 2019 passée ;

– Un regard sur la recherche de l’amélioration du seul bréviaire électoral sur lequel se base comme outil de travail à la lettre, toute Autorité ou organisme ou organe national des Élections, bréviaire électoral de très haute importance que constitue le Code électoral, dont seuls des échanges et discussions appropriées en amont et sans tabou aucun,  peuvent en trouver des consensus forts à appliquer au niveau national; Il en est de même, de la donne du fichier électoral, des circonscriptions électorales tant au niveau national que de celui de la Diaspora, etc…

– Un regard sur la donne de prise en compte effectif et d’application sûrement du bulletin unique au Sénégal, bulletin que nous souhaitons qu’il soit à souches numérotées à l’identique avec ledit bulletin, afin de mieux assurer certes une meilleure traçabilité du vote, mais aussi en être un bon facteur de garantie de relecture de la vérité du résultat des urnes telle que exprimée le jour du scrutin par l’électorat, et ceci en cas de contestation quelconque,  et/ou de sollicitation de recompte des voix, etc…

– Un regard sur la donne de statut de Leader de l’opposition devant inéluctablement être dévolu et reconnu de droit à celui de candidat sorti deuxième de la compétition présidentielle,

– et également pourquoi pas, toujours par souci de transparence, pourquoi  ne pas inclure ou accorder lors de tout échange entre acteurs, un regard sur la donne de proclamation des résultats Bureau de vote par Bureau de vote,  celle tout autant  de mise en place et en amont, d’un dispositif de code de bonne conduite signé de tous les candidats en lice et aptes à compétir, un protocole d’accord devant la Communauté Internationale prise ainsi en témoin, interdisant lors de l’attente des résultats provisoires, que nul ne puisse s’autoproclamer vainqueur de son propre chef et de ses supposés résultats en sa possession, etc…

 

En appréciation et autres aspects de recommandations d’enrichissement démocratique du registre sénégalais, il importe à notre Quatuor International de Mission :

Tout en applaudissent les avancées nées de la discussion et des échanges au niveau National lors de ce Dialogue, notre mission se veut aussi de contribuer à les enrichir par les recommandations suivantes qui sont toutefois rappelées, car évoquées en une plurielle ou en kyrielle de recommandations à l’effet, recommandations toutes aussi faites lors des précédents processus électoraux du Sénégal  qui avaient  été suivies en amont par nos faîtières de membres en Quatuor, lesquelles plurielle ou kyrielle de recommandations reprises à l’effet et ci-dessous, peuvent tout autant être bénéfiques pour le pays Sénégal, dans la voie de sa consolidation démocratique afin de continuer à impulser positivement pour le Continent.

Telle est notre ferme conviction d’appui de contribution pour le Sénégal et pour l’Afrique.

Telle est aussi celle d’exhortation que nous voulons que chaque sénégalaise et chaque sénégalais à en faire la sienne, suite au suivi en présenciel restreint de mission avancée d’observation panafricaine et internationale très longue durée, et de monitoring pré-électoral devant mener au scrutin présidentiel du 25 février 2024 en République du Sénégal et dont les actes pré électoraux que nous avions suivi avaient   bel et bien été convenablement amorcés, sauf hélas en milieu de chemin et en bémol, le climat et environnement politique qui est resté tendu et bien hélas mortifère dont il importe à tous sans exclusive de sénégalaise et de sénégalais, d’en exorciser les germes par une interpellation des acteurs en lice, à plus de retenue et de responsabilité, dans l’intérêt du Sénégal et surtout de l’Afrique .

Vivement enfin que le Don de soi pacifique dénué de toute connotation politicienne, doublé tout aussi de la transcendance des égos rien que pour son pays le Sénégal, mais aussi et surtout pour l’Afrique qui regarde le Sénégal qui en est une  de ses vraies boussoles référentielles et de modèle.

Vivement que ces donnes que nous appelons dans ce cadre pour chaque sénégalaise et pour chaque sénégalais à en faire les siennes,

Vivement tout cela être véritablement impactant et entendu dans toutes ses essences primordiales qui en découlent et dont nous avons trouvé important de nous y exprimer pour le Sénégal et pour l’Afrique notre Continent, sur ce que suscité.

AINSI ENTRE AUTRES APPELS TOUT AUSSI PRIMORDIAUX ET DE CONTRIBUTION POUR NOTRE PART QUE NOUS DRESSONS :

– Il importe pour notre dynamique dorénavant œuvrant en quatuor de missions, alliés, partenaires et pôles de communication en synergie, de recommander tout autant à ce sujet pour d’autres phases du processus électoral présidentiel sénégalais en cours :

– A l’endroit de la Communauté nationale sénégalaise et de l’opinion internationale pour certes le ressaisissement responsable de soi et des opinions émises, pour la Préservation et la recherche permanente de consolidation des valeurs qui ont de toujours marqué le socle démocratique sénégalais, qui a tant fait la fierté de l’Afrique par son mode d’alternance pacifique.

Et en ce point, notre Mission qui avait eu à entendre et à suivre des déclarations d’ONG internationales notamment Amnesty International pointer du doigt les Forces de l’ordre sénégalais d’usage disproportionné  de la force vis à vis de manifestants courant mois de juin 2023, à quelle jauge de donne de proportionnalité a-t-elle pu avoir en son sein, pour en porter jugement sans aucune présomption préalable à accorder, à moins que en attitude de mépris et de non-respect d’un Etat souverain, qu’une enquête fortuite ait bien pu en être diligentée par Amnesty International et dont nous en ignorons  ni la teneur, et encore moins les conclusions?

Notre Mission souhaite également que la retenue soit de cité en ces phases de traitement des informations afin de ne pas exacerber des velléités ou alimenter des polémiques sur du mortifère d’occasionné, dont la Mission d’enquête diligentée par l’Etat sénégalais  souverain  est  quant à elle â pied d » œuvre.

Il en est de même de recommandations à l’endroit de certains acteurs internationaux, d’éviter toute forme d’intention de procès, notamment de démarche solitaire judiciaire hors du Sénégal dont aucune enquête n’a pu encore en déterminer la véracité d’implication de propos tenus à l’endroit d’un État Souverain.

Vivement notre Mission de recommander que ces pratiques cessent, à moins de faire partie d’une symphonie de conjugaison de rôles où chacun joue en chaîne sa partition pour des causes et buts inavoués dont notre Mission s’en demande les mobiles et la teneur.

 TOUJOURS EN APPEL ET EN EXHORTATIONS D’ENRICHISSEMENT AUX CONCLUSIONS DU DIALOGUE POLITIQUE NATIONAL, NOTAMMENT EN ANNOTATION DE RAPPEL DE NOS RECOMMANDATIONS ANTERIEURES DES PROCESSUS PRECEDENTS AU SENEGAL, RECOMMANDATIONS QUI SONT TOUJOURS D’ACTUALITE : 

Au Gouvernement

  • Aller plus loin dans les réformes institutionnelles électorales en vue de mieux se

conformer à la Charte Africaine pour la Démocratie, les Élections et la

Gouvernance, au Protocole de la CEDEAO sur la Démocratie et la Gouvernance,

sans oublier de rester fidèle aux exigences et Traités universels qui fondent une

Nation démocratique.

  • Entamer des réflexions et des consultations nationales pour renforcer l’indépendance et l’impartialité des organes en charge des élections, conformément aux requis de la zone CEDEAO dont le Sénégal est membre, tout comme ceux relatifs de l’Union Africaine notre Organisation continentale, afin de renforcer les conditions de confiance nécessaire à un processus électoral de confiance en amont et apaisé ;
  • Continuer d’échanger dans la fixation avec clarté et dans la transparence, de toutes les modalités de validation des
  • parrainages afin de vaincre le climat de suspicion à l’égard de l’intégrité du processus électoral ;
  • Renforcer la mise en place des mécanismes concrets, au travers de la réforme de la Loi sur la parité, pour accroître davantage la participation des femmes dans les postes décisionnels tout aussi que ceux électifs et semi-électifs.

 

PAR LE RESPONSABLE DE L’EQUIPE CADRE DES MISSIONS PANAFRICAINE
ET INTERNATIONALE DU QUATUOR DE MISSIONS,
Coordonnateur Général et Chef de la Cellule de Coordination Électorale Internationale de LA DYNAMIQUE EN QUATUOR DE
MISSIONS et ses partenaires puis de l’Ong lead CPCS :

Dr  DAGBARA  T. Innocent (Expert Électoral, de nationalité ivoirienne)

Email de la dynamique : logevanves@gmail.com
NOUS VOUS EN REMERCIONS