Une réflexion nationale pour l’utilisation du bulletin unique à souches numérotées pourrait être une donne importante qui résoudrait pas mal de paramètres ; – Le Constat donc d’une pléthore de candidatures qui consacrent certes la dimension plurielle et inclusive de participation ; mais toutefois une réflexion nationale élargie à un dialogue national de tous les acteurs sans exclusive, pourrait revoir comment peaufiner l’aspect du parrainage à faire revenir, suite à réflexions et à propositions dans ce sens pour trouver un consensus national afin de résoudre cette pléthore de candidatures ; – Le Constat en amont de la tenue des présentes législatives anticipées, et notamment à l’entame de toute campagne électorale au Sénégal, d’une résurgence de la violence, faite d’invectives, de violences verbales à caractère carbonisant pour certains et empreints de relents frisant la haine, à l’entendement de notre Mission, et ceci en lieu et place du déroulé de programmes pour convaincre.
Que continue t’il d’être inspirant et exemplairement référentiel à chaque fois au Sénégal, dont il faut en faire désormais la large apologie pour l’Afrique , ou s’en accommoder ou pas, Ou bien que continue toujours de nous enseigner le Sénégal, notamment pour le Monde entier en général et pour l’Afrique en particulier, en termes d’actes posés pour la consolidation de la démocratie, de choix de ses dirigeants ou de ses représentants, de choix toujours opérés avec maturité par la voie des urnes et aussi réalité intrinsèque de réussite surtout en matière d’organisation des élections dans son ensemble, quels que soient les délais, tout ceci adoubé de l’ancrage et de la culture du fair-play électoral des acteurs sénégalais, aspects encore de cité et d’actualité au Sénégal, tout ceci observé encore par notre Mission conjointe au Sénégal, suite à la tenue effective des élections législatives anticipées du 17 Novembre 2024 en République du Sénégal ? – Une constance de constats observés qui obligent, en termes d’exportation pour ce qui est de meilleur du Sénégal et à révéler, et dont il ne convient point de s’en départir de ces cas d’école sénégalais très instructifs et de modèles à souhait à imiter, suite à moult consultations électorales observées par notre dynamique d’observation et d’évaluation dorénavant électorale, en République du Sénégal.
Ce qu’il convient donc, de noter et de prendre toujours en compte, au titre toujours de notre contribution d’observation et d’évaluation électorale de la consolidation démocratique référentielle au Sénégal, pour garder toujours cette flamme inspiratrice, inspirante et de vitalité démocratique qu’est le Sénégal pour le Continent africain en général, et bon nombre de sous régions africaines dont celle notamment ouest africaine, par l’enrichissement avec toujours des initiatives et des réformes inspirantes et salvatrices qui peuvent faire rebondir tous nos pays africains pour aller de l’avant. Le Sénégal étant une vraie école inspiratrice, à l’entendement de notre Mission. AINSI, LE PEUPLE SENEGALAIS : Un peuple responsable, engagé et de fierté qui sait toujours imprimer ses marques rien que par les urnes, consacrant de fort belle manière le socle de la paix durable qui se procure par le choix libre de ses représentants, dans une compétition qu’il ne cesse de toujours faire rester plurielle, ouverte, inclusive et d’organisation réussie et globalement satisfaisante ; Le Peuple Sénégalais, de sa société civile dans sa pluralité, qui sait donner de la voix pour son pays lorsque les circonstances l’exigent ;
Le peuple sénégalais de sa société civile également, et notamment celle qui sait se mutualiser et opérer des actions majeures pour son pays, avec cette formidable organisation du Collectif des Organisations de la Société Civile pour les Elections (COSCE) qui reste à féliciter, à soutenir et à encourager, en tant que acteur national important sénégalais, puis gage national dont les compétences référentielles peuvent être exportables sous d’autres cieux en termes d’éveil, de plaidoyer, de savoir-faire en termes de collecte de données en SITUATION ROOM et de remontées d’informations en temps réels pour toute mesure idoine à prendre par qui de droit au Sénégal, et ceci grâce à un maillage efficace et en nombre du territoire national, ce que notre dynamique de mission a observé sur le terrain, aspects fondamentaux du COSCE qui sont marquants en termes de dynamique rassurante vis à vis de l’électorat sénégalais qui se sent bien conforté; A ce titre, il importe aussi à l’opposé de dire et de dénoncer que bien de missions d’ONG africaines au contraire, certaines étant tout simplement fantaisistes, sans aucun repère chez elles, qui venant observer au Sénégal, se devraient plutôt de s’en inspirer de ces expertises de la société civile nationale sénégalaise pour en faire tâches d’huile similaires et au préalable dans leurs pays, en lieu et place pour toujours certaines qui écument nos pays africains lors de toute consultation électorale, pour tout juste acquérir des accréditations qui, une fois obtenues, leur servent comme constaté par notre Mission au Sénégal, ou comme constaté dans d’autres pays, en forme de rush de ces soit disant observateurs d’ONG qui ne sont que des prébendiers et des troubadours électoraux à la recherche uniquement de prébendes, dépeignant gravement sur ceux des observateurs sérieux, qui font leur boulot conformément à l’éthique et à la déontologie de l’observation internationale des élections ( Et pour référence, les cas observés de ceux de ces observateurs internationaux prébendiers qui s’agglutinent devant les bureaux de vote des Chefs d’Etat depuis WADE en passant par Macky Sall pour en arriver en rebelote à Diomaye Faye le jour du scrutin législatif du 17 Novembre 2024, pour juste chercher des contacts en vue d’audiences pour des prébendes ; cette attitude se devant d’être un aspect à proscrire au Sénégal tout comme partout sous d’autres cieux par les organes en charge des élections de nos pays africains, à chaque consultation électorale qui pointe en Afrique). L’excellence à faire valoir en appelle à la circonscription de ce phénomène gangreneux d’observation électorale, juste de recherche de prébendes sans faire un travail efficient pour le pays qui les a accrédités. Le Peuple sénégalais en un mot de l’observation nationale des élections qui est quant à elle, une référence à encourager et à privilégier plus que toute autre mission d’ONG , qu’elle fusse internationale ou africaine, l’Observation nationale sénégalaise se doit d’être plus que aidée par l’Etat car de belle facture et de qualité d’observation électorale d’appui et de confiance plus que quiconque, Le Peuple Sénégalais de ses Forces de Défense et de Sécurité dont il importe de donner un satisfecit pour la bonne sécurisation des opérations électorales, tout comme le satisfecit à faire aux forces de l’ordre des pays où le vote des législatives anticipées s’est déroulé à l’extérieur du Sénégal pour la Diaspora et dont les observateurs de notre dynamique ont observé le professionnalisme sécurisant et de non-ingérence de toutes ces forces de sécurisation tant au niveau national sénégalais, que de celui de la Diaspora, Le peuple sénégalais de sa presse libre, qui joue un rôle important à chaque consultation électorale, de par son grand maillage et sa couverture efficace du territoire national et de la Diaspora, puis son rendu professionnel de l’information, à chaque consultation électorale au Sénégal, dont les présentes législatives anticipées, Le peuple sénégalais de ses Organes en charge des Elections qui savent se sublimer et réussir quels que soient les délais impartis et aussi les circonstances climatiques encourues dans le pays (pluies et crues ayant impacté en certains endroits le territoire national sénégalais), pour en tirer toujours de belle manière, son épingle du jeu, avec une organisation globalement satisfaisante, faite de communication tout azimuts en amont et pendant, avec les acteurs sénégalais, la sensibilisation de l’électorat, l’information par un briefing porté aux observateurs accrédités selon des critères bien établis, la promptitude de réaction en moult circonstances vis à vis des remontées des informations portéesde ci et de là vers elles, que notre Mission conjointe a suivi et fait également, en ayant eu à déployer stratégiquement des observateurs dans certains endroits tant au niveau national sénégalais, que de celui de la Diaspora, lors de ces élections législatives anticipées du 17 Novembre 2024, que ce soit de manière factuelle terrain à Dakar, à Rufisque et à Saint LOUIS, tout comme aussi en France ( à Mantes la Jolie et au 156 Rue de la Nouvelle France à Montreuil), à Abidjan en Côte d’Ivoire, en République Islamique de Mauritanie ( notamment au Centre Lycée TEVRAGH ZEINA), au Congo Brazzaville notamment à POINTE NOIRE ( à l’Ecole de la Révolution Arrondissement 1 de Lumumba), sans oublier l’aspect de monitoring électoral et celui de recoupe d’informations factuelles terrain avec des ONG nationales amies et partenaires référents pays Sénégal avec notre dynamique, déployées sur le territoire national sénégalais ; Le peuple sénégalais, de ses acteurs politiques qui savent même tardivement, se dépasser de leurs langages des fois trouvés bien clivants lorsqu’ils y sont interpellés dans ce cadre par la Société civile, mais qui toutefois, et il importe de le noter, sont à féliciter pour leur culture de fair play politique lorsque les circonstances l’exigent et les faits étant palpant ; donne de culture de la notion de fair-play qui reste grandement exportable et de fierté démocratique pour le Sénégal et pour le Continent Africain, Outre ces points importants sus cités et évoqués, il convient toutefois d’opposer les aspects suivants que le Sénégal pourrait être amené à corriger, et ceci dans la perspective de futures consultations à venir, notamment celles des élections locales qui peuvent poindre et se tenir dans 2 ans au Sénégal ;
Ces aspects à corriger résultent notamment: – Des retards d’ouverture encore constatés en certains endroits des bureaux de vote allant de 10 à 30 mn observés ; Circonscrire ou amoindrir ces aspects de retards, peuvent être une donne importante de ne pas toujours mettre à fleur de peau ceux des électeurs qui arrivent tôt le matin pour voter, dans la perspective d’aller ensuite vaquer à leurs occupations quotidiennes ; – L’usage fastidieux pour l’électorat des bulletins multiples utilisés, dont même la norme consensuelle permise de pouvoir prendre 5 parmi les 41 lots de bulletins exposés, ne garantit pas et biaise un tout petit peu le secret intrinsèque du vote de l’électeur (41 lots de bulletins existentiels en format A4 pour ces élections législatives anticipées) ; Une réflexion nationale pour l’utilisation du bulletin unique à souches numérotées pourrait être une donne importante qui résoudrait pas mal de paramètres ; – Le Constat donc d’une pléthore de candidatures qui consacrent certes la dimension plurielle et inclusive de participation ; mais toutefois une réflexion nationale élargie à un dialogue national de tous les acteurs sans exclusive, pourrait revoir comment peaufiner l’aspect du parrainage à faire revenir, suite à réflexions et à propositions dans ce sens pour trouver un consensus national afin de résoudre cette pléthore de candidatures ; – Le Constat en amont de la tenue des présentes législatives anticipées, et notamment à l’entame de toute campagne électorale au Sénégal, d’une résurgence de la violence, faite d’invectives, de violences verbales à caractère carbonisant pour certains et empreints de relents frisant la haine, à l’entendement de notre Mission, et ceci en lieu et place du déroulé de programmes pour convaincre ;
Bien que à chaque fois la Société Civile sénégalaise ainsi que tous corps religieux y mettent chacun du sien pour faire baisser les tensions, tout comme notre Mission l’a aussi faite par des déclarations communiqués y relatifs en moult circonstances au Sénégal dont notre participation de sensibilisation, d’éveil et d’exhortation à la transcendance des uns et des autres au calme, à la paix, à la cohésion sociale et à la retenue dans le respect mutuel des uns et des autres au service du Sénégal lors de ces législatives anticipées présentes, il importe aux politiques de revoir leurs copies pour être au diapason du service pacifique à toujours rendre au Sénégal, par de la sensibilisation interne de leurs militants ; En cela, les Organes en charge des Elections pourraient proposer pendant la campagne électorale, en lieu et place facultatives des caravanes et des temps de passages des candidats sur les médias, proposer des plages de débats entre candidats en lice qui pourraient être soumis à des échanges qui pourraient être plus éclaireurs pour l’électorat et moins couteux pour les candidats en lice ; – Le constat de la non élégance vis-à-vis du genre lors de cette consultation électorale. L’élégance politique n’a point été de cité en ce sens qu’aucune femme n’a été tête de liste sur les 41 listes en présence, tronquant le caractère de la parité reconnu lors des scrutins précédents au Sénégal ; A moins que cette donne de parité, si chère au Sénégal ne soit réparée lors de l’attribution des postes qui seront fait au moment de l’installation de la nouvelle législature qui émanera des résultats de cette consultation électorale des législatives anticipées du 17 Novembre 2024 en République du Sénégal .
En conclusion préliminaire de Rapport Bilan, et dans l’attente de la chronologie de proclamation des résultats provisoires et ceux définitifs par les Instances nationales sénégalaises y habilitées en la matière, notre Mission conjointe OPANEL / CPCS-ADA accréditée selon les canevas pré établis par le Ministère en charge des Elections de la République du Sénégal et ses démembrements dont l’alchimie de collaboration émanant de la Direction Générale des Elections (DGE), de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) et du Ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur que notre Mission conjointe remercie tous, pour la confiance à chaque fois renouvelée vis-à-vis de notre dynamique observatoire et d’évaluation électorale pour toutes fins utiles, Notre Mission conjointe restera regardante aussi de tous les aspects post électoraux ainsi que d’éventuels contentieux dont elle se fera fort d’être toute aussi attentive. Notre Mission conjointe exhorte tout acteur qui sera amené à vouloir porter recours à l’issue de la proclamation provisoire des résultats issus des urnes, de bien vouloir se conformer dans le calme et la responsabilité républicaine, aux dispositions électorales en vigueur en République du Sénégal . Un Rapport final détaillé de suivi de tout le processus électoral, sera le moment venu dressé à toutes fins utiles, ponctué d’une kyrielle de recommandations à chaque donne évoquée, et ceci au titre de notre contribution à la consolidation démocratique en République du Sénégal, qui se doit d’être toujours et de rester la vitrine inspirante africaine en général et surtout celle de tirer vers le haut, la sous-région ouest africaine en particulier, à climat démocratique très délétère. Fait à Dakar en Bilan Point de Presse, ce 18 Novembre 2024.
Jean Moliere
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