26 janvier 2025
Paris - France
CULTURE

Le pasteur burundais Chris Ndikumana rassemble 300 000 fidèles :une véritable marée humaine à la croisade Kanguka à Abidjan

Le terme “Kanguka,” signifiant “réveille-toi” en kinyarwanda, a pris une dimension spirituelle grâce au pasteur burundais Chris Ndikumana. À travers son émission du même nom, Ndikumana vise à réveiller spirituellement les chrétiens, permettant au Saint-Esprit de réaliser la volonté divine. Ses enseignements pratiques et réconfortants, diffusés dans trois langues, ont pour objectif d’encourager et d’édifier les enfants de Dieu à travers le monde sans aucune distinction de réligion. L’émission Kanguka, portée par la vision du ministère de Chris Ndikumana, connu sous le nom de “ED Project,” a trouvé une plateforme mondiale grâce à l’Internet. Là où, en 1996, le pasteur recevait la vision de son ministère, il ne pouvait imaginer la portée mondiale de ses enseignements. Cependant, avec la confiance et l’obéissance à la parole divine, l’avènement d’Internet a permis de réaliser cette vision.

Né en 1973 au Burundi, Chris Ndikumana est un homme dont la vie a été façonnée par des moments spirituels intenses et des défis personnels. Aîné d’une fratrie de six enfants, il a grandi dans une atmosphère empreinte de noblesse et de timidité, des caractéristiques qui, bien que l’ayant protégé des regards critiques, n’ont pas occulté ses luttes intérieures.

En 1993, à l’âge de 20 ans, Chris a connu une transformation profonde lorsqu’il a donné sa vie à Yeshua, utilisant le nom hébreu de Jésus. Cette expérience personnelle a été vécue de manière individuelle, loin des prédications conventionnelles, une voix divine intérieure le guidant vers le salut.

Son parcours académique l’a conduit en Afrique du Sud en quête d’une bourse d’études, une tentative qui s’est malheureusement soldée par un échec. Cependant, c’est dans ce contexte qu’il a reçu le salut et a été confronté à une vision divine de sa mission future.

Avant de trouver sa voie spirituelle, Chris avait des aspirations sportives. Il idolâtrait Michael Jordan et rêvait de devenir un basketteur surpassant son idole. Il a également rêvé de devenir joueur de football. Ces rêves ont pris un tournant divin lorsqu’il a reçu sa vocation spirituelle.

Chris a également fait l’expérience des hauts et des bas du monde des affaires, se lançant dans le commerce de minerais en provenance du Congo. Son engagement dans ce domaine l’a même conduit à connaître les affres du cachot dans un camp militaire, où il a été dépouillé de ses biens.

La transition vers le ministère spirituel

La métamorphose de Chris Ndikumana vers le ministère spirituel a pris forme au moment où une voix divine a résonné en lui, lui dévoilant une mission particulière : servir Dieu à travers la technologie. Cette révélation a ouvert un nouveau chapitre dans sa vie, initialement incarné par la gestion d’un humble cyber café. Cependant, loin d’être une simple entreprise commerciale, ce cyber café est devenu le creuset où la fusion entre la spiritualité et la technologie a pris vie.

Le logo du cyber café, aujourd’hui devenu le symbole emblématique de son ministère, Kanguka, représente bien plus qu’une simple image. Il incarne la vision inspirée par la voix divine qui lui a dicté de servir au travers de la technologie. Chaque élément du logo porte le poids de cette connexion divine, symbolisant l’intersection entre la mission spirituelle de Chris et son engagement dans le monde numérique.

Ainsi, ce cyber café, bien au-delà d’un simple lieu de connexion internet, a été le laboratoire où les enseignements de Chris ont trouvé leur voie vers le monde. Le logo, avec ses contours distincts, est devenu le catalyseur visuel qui annonce la présence de Kanguka, une émission de podcast et une application dédiée à la diffusion quotidienne d’enseignements spirituels. Cette transition, guidée par la voix divine, a transformé un simple établissement commercial en un phare numérique, éclairant le chemin de ceux qui cherchent une connexion spirituelle au sein de la technologie moderne.

Le Phénomène Religieux « Kanguka »

Le terme « Kanguka » signifiant « réveille-toi » en kinyarwanda. À travers son émission du même nom, Ndikumana vise à réveiller spirituellement les chrétiens, permettant au Saint-Esprit de réaliser la volonté divine. Ses enseignements pratiques et réconfortants, diffusés dans trois langues, ont pour objectif d’encourager et d’édifier les enfants de Dieu à travers le monde sans aucune distinction de religion. Là où, en 1996, le pasteur recevait la vision de son ministère, il ne pouvait imaginer la portée mondiale de ses enseignements.

Le 18 novembre 2023, les populations de Douala ont accueilli, au stade de Japoma, dans le 3e arrondissement de la ville de Douala, le promoteur du programme de prière à succès KANGUKA. Si les fervents chrétiens savent qui est l’homme de dieu, beaucoup n’en savent rien. Qui est donc Chris Ndikumana, communément appelé Kanguka ?

Après Bruxelles et le Burundi, c’était au tour du Cameroun de recevoir la visite du pasteur Chris Ndikumana.  Réunissant des milliers de personnes, 200 000 selon actucameroun, les fidèles ont été édifiés sur le bon choix de vie sur terre, celle qui glorifie Dieu. Le pasteur Chris Ndikumana a profité de ce moment pour signifier à tous, principalement ceux à la recherche des miracles et d’une touche divine que le seigneur Jésus-Christ est la clé. De fait, lui consacrer sa vie et marcher en nouveauté de vie serait la meilleure assurance de la guérison et de la délivrance complète.

Venus de tous les coins du pays, en l’occurrence Yaoundé, Bertoua, Garoua et Douala entre autres, plusieurs ont reçu la visitation du Saint-Esprit, guérissant des cancers, des myomes, kystes et bénéficiant des délivrances de tout genre, apprend-on. Le rendez-vous divin de plus de 6 heures d’horloge s’est achevé dans un succès total et ce malgré les énormes bouchons qui ont paralysé la  circulation du côté de la pénétrante Est de la cité économique.

Gabon : la croisade de l’évangéliste Chris Ndikumana  s’est tenue le samedi 06 juillet 2024 dernier.

Côte D’Ivoire:  la croisade  d’Abidjan le 07 décembre 2024

Chris Ndikumana: « La collecte des offrandes pendant la croisade est biblique »

L’évangéliste burundais Chris Ndikumana, animateur de l’émission Kanguka, a tenu à réagir au débat soulevé par ses propos de de sa campagne d’évangélisation à Abidjan, en Côte d’Ivoire, au cours de laquelle il a demandé que des offrandes ne soient pas collectées pour son organisation. Il dit qu’il est normal que des chrétiens soutiennent l’oeuvre de Dieu. Reconnaissant avoir lancé des appels aux dons lors de ses croisades par le passé, il a cessé de collecter des offrandes dans ses croisades d’évangélisation après avoir reçu un ordre de Dieu de ne plus le faire. Il estime aussi qu’une telle collecte ne serait pas justifiée du fait que les dons spontanés des auditeurs de son programme Kanguka suffisent largement à couvrir les frais nécessaires.

« Shalom, shalom. C’est Chris Ndikumana. Je viens de faire un bon voyage. Je remercie le Seigneur pour tout ce qu’il a fait à Abidjan. J’imagine que beaucoup d’entre vous ont suivi ce qui s’est passé.

On a vu la croisade; on a eu des centaines de milliers de personnes qui étaient là. On a vu des milliers d’âmes qui ont été sauvées. Nous rendons gloire à Dieu pour la sécurité, pour la présence de Dieu, pour les miracles,  pour les âmes sauvées.

Nous sommes vraiment dans la joie de voir ce que le Saint-Esprit a fait le 7 décembre à Abidjan.

La raison pour laquelle je fais cette audio, c’est très court. Je vais juste donner de la lumière, un éclaircissement sur ce qui concerne les offrandes. Je le dis parce que quelqu’un m’a dit qu’il y a un débat sur les réseaux sociaux, et si je dis ça, ce n’est pas un serviteur de Dieu ou un ministre de Dieu qui m’a demandé de le dire; c’est moi-même qui ai pris l’initiative de le faire pour donner de la lumière.

J’aimerais expliquer un peu ce que j’ai dit dans la croisade à propos des offrandes. J’ai dit qu’il n’y a pas d’offrande, et si j’ai dit qu’il n’y a pas d’offrande dans cette croisade, ce n’est pas que c’est mauvais qu’il y ait des offrandes dans une croisade; ce n’est pas un pêché et ce n’est pas contre la Parole de Dieu.

Je l’ai dit pour une raison particulière. L’année passée, au mois de juillet, dans la croisade à Bujumbura, et même dans la croisade de Libreville, il y a eu ceux qui ont perçu de l’argent avec des badges, ils ont pris l’argent soit disant que c’est pour la croisade de Kanguka alors que c’était faux. C’est uniquement pour cela que je l’ai fait.

En ce qui concerne les offrandes pendant les croisades, j’aimerais que tout le monde sache que ce n’est pas un péché et c’est biblique même. Donc, quand il y a une croisade et qu’il y a des offrandes, ne pensez pas que c’est mauvais. C’est biblique parce que ce sont des chrétiens même qui doivent soutenir l’œuvre de Dieu.

Moi-même, avant je le faisais. En 2017, en 2018, en 2019 et en 2022, que ce soit en Belgique, que ce soit au Canada, que ce soit en Angleterre, que ce soit au Togo, pendant la croisade il y avait la collecte des offrandes. Donc, ce n’est pas un pêché, ce n’est pas contre la Parole de Dieu.

Dans 3 Jean, si vous voyez la lettre que Jean écrit à Gaïus il a dit clairement que c’est bien de soutenir les serviteurs de Dieu. Au verset 7, il dit et que « c’est pour le nom de Jésus-Christ qu’ils sont partis, sans rien recevoir des païens. devons donc accueillir de tels hommes, afin d’être ouvriers avec eux pour la vérité » et que « nous devons donc accueillir de tels hommes, afin d’être ouvriers avec eux pour la vérité. » (verset 8).

Qu’il y ait des offrandes pendant la croisade, c’est biblique. Je le répète: Qu’il y ait des offrandes pendant la croisade, c’est biblique. Alors pourquoi moi je ne fais pas cette année? Au mois de juillet, juste avant la croisade de Bujumbura, le Saint-Esprit m’a dit qu’il ne faut plus percevoir les offrandes.

C’était juste au début de l’année que le Saint-Esprit m’a convaincu qu’il ne faut plus faire ça, ce qui ne veut pas dire que c’est mauvais, mais ça c’est un cas particulier, c’est un rhema que j’ai eu pour moi et quand j’ai obéi les gens nous contactent et soutiennent avant la croisade.

Ce qui s’est passé à Abidjan, ça a coûté énormément. C’était extrêmement cher. Moi personnellement je ne pouvais pas payer ça, je n’ai pas l’argent pour payer ça, mais des chrétiens, des auditeurs de l’émission Kanguka nous ont appelé depuis que j’ai annoncé ça trois mois avant la croisade. J’ai annoncé, les gens nous ont appelé; ils ont soutenu tout ce que vous avez vu. Ce sont des chrétiens qui nous suivent qui ont financé ça à l’avance.

La différence c’est qu’ils ont soutenu avant la croisade. Donc, je tenais à être clair parce que je vois des gens qui disent : « Non, il ne faut pas demander, c’est mauvais! »

Ce n’est pas mauvais qu’il y ait des offrandes pendant la croisade. Si le Saint-Esprit ne t’a pas donné un ordre particulier, si tu le fais ce n’est pas mauvais. Ce qui est mauvais, par contre, c’est d’exiger que les gens payent avant d’entrer dans la croisade, Si avant d’entrer dans la croisade il faut payer, ça c’est contre la Parole de Dieu; c’est ce que je dis toujours dans l’émission Kanguka que ce n’est pas bien.

Voilà pourquoi je ne pouvais pas attendre. Je voulais vraiment donner de la lumière pour que ça soit clair : Qu’il y ait une collecte des offrandes pendant la croisade, c’est biblique, ce n’est pas mauvais, ce n’est pas un péché. Ce qui n’est pas bien, ce qui est contre la Parole de Dieu c’est d’exiger de l’argent avant la croisade.

Mais pour mon cas, c’est un cas particulier. Le le Saint-Esprit m’a dit clairement de ne pas le faire pour une raison particulière, et quand j’ai obéi les gens nous contactent et soutiennent la croisade avant le jour de la croisade. Ca ne veut pas dire que ça doit être le cas pour tout le monde.

En Côte d’Ivoire, il n’y a pas un pasteur ou un serviteur de Dieu ou un prophète qui m’a demandé de dire ça. C’est moi-même qui me sens guidé à donner de la lumière parce que je sais que par là le diable peut piéger certains chrétiens. Quand ils voient une croisade qu’on voit la colcte des offrandes on dit que c’est mauvais. Non ce n’est pas mauvais et c’est biblique.

Je le répète : la collecte des offrandes pendant la croisade, c’est biblique. Si moi je ne l’ai pas fait c’est parce que j’ai reçu l’ordre du Saint-Esprit de ne pas le faire et ça c’est un cas particulier; c’est ce qu’on appelle rhema.
Que Dieu vous bénisse abondamment ! »

Des milliers d’Ivoiriens venus de différentes communes d’Abidjan mais aussi de l’intérieur du pays ont participé, le samedi 7 décembre 2024, à la croisade du pasteur Chris Ndikumana organisée au cœur d’Abidjan, dans la commune de Yopougon.

Une véritable marée humaine à la croisade Kanguka de Chris Ndikumana à Abidjan

Abidjan a été le lieu d’un événement spirituel hors du commun : la croisade Kanguka, conduite par l’Évangéliste burundais, Chris Ndikumana. Un moment qui a rassemblé plus de 300 000 fidèles chrétien dans une ferveur indescriptible. Entre un message simplement puissant et des chants d’adoration marquants, ce rendez-vous a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire des rassemblements religieux en Côte d’Ivoire.

Une partie de la ville d’Abidjan a été bloquée dès les premières heures du samedi 7 décembre en raison de gigantesques mouvements de foule qui convergeaient vers Yopougon-Songon sur la route de Dabou, où se tenait la croisade religieuse de Chris Ndikumana. Ceux qui voulaient être au plus près du pasteur rwandais avaient, pour leur part, dormi, la veille, dans des conditions sommaires sur les lieux du meeting qui a rassemblé, selon les organisateurs, plus de 300 mille personnes.

Chris Ndikumana, 51 ans, de nationalité burundaise est devenu un pasteur itinérant célèbre après avoir créé une application qu’on peut acquérir gratuitement mais qui lui permet d’enregistrer des prières chrétiennes pour ses 500 mille auditeurs quotidiens. Il est également propriétaire d’une chaîne de webtv dénommée kanguka qui est entièrement monétisée. Cette chaîne produit des émissions dites « de réveil spirituel » afin de permettre aux chrétiens par le biais du Saint-Esprit de réaliser la volonté de Dieu, dit Chris Ndikuma.

Le temps de Jésus

« Je suis convaincu que c’est le temps du réveil et Jésus veut récupérer beaucoup d’âmes pour le royaume de Dieu », a coutume de dire ce pasteur plutôt sympathique qui séduit les foules par sa simplicité. « C’est un homme simple qui ne se met pas à la place de Jésus », lui reconnaissent la plupart de ses fidèles qui le préfèrent aux pasteurs qui se prennent pour Dieu lui-même.

Le pasteur itinérant burundais a une autre qualité. Il abhorre la dîme et les offrandes alors que la propension des pasteurs évangéliques pour l’argent des fidèles est devenue un impondérable du pastorat moderne.

A Abidjan, les organisateurs bénévoles  ont déblayé à coup de graders et de pelleteuses un terrain de deux hectares sur lesquels la croisade a été organisée. Il en outre fallu y installer un énorme podium et un dispositif acoustique de premier plan qui exige forcément des moyens financiers conséquents. Cela dit, aucune information ne fuite habituellement sur ce sujet.Cependant , le pasteur a remercié et béni  les donateurs publiquement.

La journée du samedi 7 décembre 2024, à Abidjan, jour de la commémoration du décès du premier président de Côte d’Ivoire, a vibré au rythme de la croisade d’évangélisation Kanguka, menée par l’Évangéliste Chris Ndikumana.

Cette rencontre, véritable fenêtre ouverte sur les cieux, a marqué le paysage religieux ivoirien en termes de mobilisation. Ce qui a étonné plus d’un par son caractère sobre, loin des fanfaronnades habituelles dans les médias pour ce genre d’occasion.

Un message centré sur Jésus-Christ

Fidèle à son style d’évangélisation empreint de simplicité et de profondeur, Chris Ndikumana a prêché un message percutant sur la puissance rédemptrice du sang de Jésus-Christ.

« Ce n’est pas la quantité des miracles qui compte, mais le sang de Jésus-Christ. C’est le sang de Jésus qui sauve sur la base de la profondeur de votre relation avec lui, le Sauveur de l’humanité », a-t-il martelé devant le public acquis à sa cause.

Loin des traditions souvent associées à de telles croisades, l’Évangéliste Chris a surpris les participants en déclarant, à cette occasion, qu’aucune offrande ne serait recueillie pendant l’événement.

Il a ainsi affirmé sa volonté de centrer l’attention sur l’essence du message biblique, qui est « le salut de l’humanité par la foi en Jésus-Christ ».

Un phénomène amplifié grâce au numérique

Kanguka, qui signifie « réveille-toi » en langue kinyarwanda, a pris une ampleur continentale grâce à une stratégie de diffusion ingénieuse.

Lancée en 2016 sur WhatsApp, l’initiative s’est progressivement étendue à d’autres plateformes numériques : une application dédiée en 2018, puis une chaîne YouTube en 2020.

Aujourd’hui, ce mouvement dépasse toutes les frontières et rassemble des millions de fidèles à travers le monde.

Cette croisade, la plus suivie à ce jour, illustre bien l’impact des réseaux sociaux dans l’évangélisation moderne. « Kanguka » est devenue une véritable marque spirituelle qui combine aisément innovation technologique et ferveur religieuse.

Avec des chants d’adoration en kinyarwanda, langue maternelle de Chris Ndikumana, le public découvre également la richesse culturelle du Burundi, son pays natal.

Un rayonnement spirituel mondial pour Kanguka

Depuis ses débuts modestes en 1996, où Chris Ndikumana recevait la vision de son ministère, Kanguka s’est métamorphosée en un phénomène global.

En l’espace de quelques années, cet évangéliste a parcouru 10 pays, touchant des millions d’âmes en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord. Chaque croisade est un moment de grande communion et de transformation spirituelle.

La croisade de Songon n’était pas un événement isolé. Avant Abidjan, le stade d’Agondje à Libreville, au Gabon, avait accueilli le 6 juillet dernier un rassemblement tout aussi impressionnant. Avec près de 300 000 participants, cette étape gabonaise témoignait déjà de l’ampleur grandissante de Kanguka.

Une mission d’impact qui ne faiblit pas

Chris Ndikumana continue d’incarner l’évangile en action, prouvant que la foi combinée à la technologie peut franchir toutes les frontières. La prochaine destination de la croisade Kanguka sera dévoilée début 2025, et les attentes sont déjà palpables.

Abidjan se souviendra donc longtemps de ce 7 décembre 2024, où le ciel semblait s’être rapproché de la terre à Songon. Une chose est sûre : Kanguka, loin d’être un simple rassemblement chrétien, est un réveil spirituel dont l’impact résonne désormais sur tout le continent africain.

Jean Moliere

Leave feedback about this

  • Quality
  • Price
  • Service

PROS

+
Add Field

CONS

+
Add Field
Choose Image
Choose Video