Des faux chiffres produits par Le regime Macky Sall.
La Cour des comptes confirme une dette à près de 100% du PIB.
Le rapport de la cour des comptes en Côte d’Ivoire est resté dans les tiroirs sans poursuites.
Le niveau d’endettement du Sénégal au 31 mars 2024 :
• Selon Macky Sall : 70 % du PIB
• Selon Ousmane Sonko : « Minimum 83 % » (démenti par le camp de Macky Sall)
• Selon la Cour des Comptes : Plus de 99,5 % du PIB
Pourtant, en 2012, lorsque Macky Sall prenait la tête du pays, la dette représentait moins de 35 % du PIB.
Selon un rapport d’audit de la Cour des comptes sénégalaise, la dette de l’administration centrale budgétaire atteignait 18 558,91 milliards FCFA (29,4 milliards $) au 31 décembre 2023, soit 99,67 % du PIB, bien au-delà des 74 % annoncés par l’ancien gouvernement.
Cette situation financière préoccupante s’accompagne d’un déficit budgétaire réel en moyenne de 11 %, atteignant même 12,30 % en 2023, contre les 4,90 % précédemment déclarés.
Le nouveau rapport de la Cour des comptes révèle la vente de plusieurs biens de l’État à des prix controversés.
– le building administratif vendu à 72 milliards de FCFA, après une réfection qui a coûté 40 milliards.
– L’ancien Palais de justice a été cédé lui aussi à 59 milliards de FCFA.
– le ministère des finances et des publiques venu
– l’école des douanes et plusieurs autres bâtiments vendus par le chef des « kulunas » du Sénégal.
Tenez-vous bien, il s’agit qu’une partie des scandales révélés par la cour des comptes.
La gestion nébuleuse, fr¤uduleuse du régime de Macky Sall a conduit le pays dans une situation économique alarmante.
Des chiffres sont maquillés par l’ancien régime pour tromper les institutions et les Senegalais. En guise d’exemple, le niveau de la dette publique qui atteint près de 100% du PIB du Sénégal, bien delà des 74% annoncés par l’ancien régime.
Autre élément accablant, le transfert de fonds publics vers des comptes de dépôts échappant aux règles budgétaires classiqes, une dette bancaire de 2517 milliards, hors circuit budgétaire et qui n’a pas été approuvée par le Parlement.
